Après une remontrance voilà que je dois aider les autres...[pv robert]

Mission à haut risque? oui surtout en ayant le vertige

Pax ▽ Pourquoi faut que ça tombe sur moi sérieusement?

10h12 - poste de police de Portland le 3 juillet 2013

« -Lou-Anne Charlotte O'Connor c'est sur et certain vous vous appelez comme ça ? Non parce que depuis tout à l'heure vous vous payez ma tête alors je ne veux pas dire mais, si j'appelle et que ce n'est pas le bon nom tu passes deux heures en garde à vue. »

Elle leva les yeux aux ciels, en répondant alors :

« -Ouai c'est ça... mon nom c'est bien ça. »

Charlie joua avec ses cheveux, jusqu'à l'arrivée de son père et finalement assise à la mode « j'en ai rien à faire de ce qu'on me dira », sourit en voyant son père et lui dit :

« -Salut Daddy... je suis heureuse de te voir. »

Son père la foudroya du regard, avant de lui dire :

« -Charlie tu te tais... Maintenant je veux plus t'entendre, tu me laisses parler au lieutenant Lassiter. »

Après cinq bonnes minutes la jeune fille vis arriver son père furieux, apparemment son entrevue avec le lieutenant avait mis son père de mauvais poils, bon d'accord teindre les cheveux d'une copine de classe qui l'avait insulté, c'était peut-être méchant. Mais c'était soit ça soit bah... lui faire bouffer un mur et qu'elle finisse à l'hosto. Son père lui montra la voiture et la jeune blondinette y fila aussitôt... une fois dans la voiture son père lui sortis une remontrance digne de lui, avant de lui dire que pour la punir elle allait devoir le suivre pour un chantier de bienfaisance une maison à rénover. Charlie avait regardé son père en le maudissant, aller sur un chantier aidé des gens... bah voyons tient, fichtre elle était peut-être allée trop loin cette fois-ci dans une vengeance.

Charlie s'attacha avec sa ceinture en s'enfonçant dans son siège et se tut durant tout le trajet...

Une semaine plus tard le 10 juillet 2013, Portland dans un quartier perdu.

La jeune fille avec sa casquette violette sur la tête, soupira en sortant de la voiture il était trop tôt pour elle... 8h30 ce n'était pas humain de lever sa fille pendant les vacances à cette heure si... Charlie posa son regard sur son père en lui disant :

« -T'es sûr qu'il faut que je vienne, planter un clou dans tes planches papa ? Non parce que bon j'ai peur de faire une bêtise... et puis moi et le bricolage ça fait 6000. »

Son père la regarda en lui disant clairement, qu'il fallait qu'elle aide... finalement après 20minutes d'essaie de boulot à tenir une planche son père l'envoya accompagner du chien d'une des personnes du chantier. Chercher de quoi faire des sandwiches et ainsi se poser dans son coin en aidant pour faire les sandwiches et faire le service et autre... enfin pour l'instant assise sur un banc avec une table en face d'elle. Charlie manqua de faire tomber la bouteille de jus d'orange parterre et donc que cette dernière se renverse, la bouteille continua de nouveau à tanguer et Charlie lâcha un gros mot en espérant que son père ne l'est pas entendu.

(c) AMIANTE

Il était tôt ce matin lorsque le sommeil me quitta. Je n'avais plus envie de dormir. Je m'étais couché tôt peu fatigué et ce matin les rayons du soleil traversaient mes volets. J'étais content en les voyant. Ma joie s'envol quand j'ouvris les volets. Il faisait gris et le soleil tentait une percée parmi les nuages moutonneux. Je regardais mon réveil, il était 7 heures. Je descendis et allais prendre mon petit déjeuner. Je me préparais et allais donner un coup de main comme prévu à une association de bienfaisance qui m'avait plu. Le but de l'association était de venir en aide à des personnes pour construire ou reconstruire des maisons ou tout type de chose (barrière, porte...). Je donnais un coup de main volontiers mes jours de congé. Mon patron m'avait autorisé à prendre deux jours. J'aidais souvent les gens dans diverses associations. J'aimais faire différentes chose aussi et ce jour là j’espérais être servit. Nous allions chez une famille de sinistré après un violent orage en périphérie de la ville. C'était une vielle dame qui ne pouvait pas faire appel à son fils qui travaillait dans un Etat lointain de l'Est. Je n'en avais pas demandé plus. Je trouvais cela bien d'aider des personnes qui sont vraiment dans le besoin.

Je me préparais et enfilais des habits qui ne craignais pas d'être sali. Comme je transpirais généralement beaucoup je pris du change. Pour ce qui est de la restauration on m'avait dit que tout serait prévu sur place. Il fallait que je prenne mon petit camion aussi. J'avais obtenu de mon patron qu'il me le laisse. Il avait accepté en disant de bien faire de la pub.

Une fois totalement prêt et sûr de rien avoir oublié je parti habillé d'un simple tee-shirt uni blanc, un jean un peu usé et le change dans mon sac au côté de mes papiers et les clefs en main. Je posais le tout sur le siège passager et rejoignais l'adresse qu'on m'avait donné. Il n'y avait pas grand monde à mon arrivée. Le trajet avait était sans encombre parmi les gens partant au travail.

Arrivée je regardais l'heure à la pendule: 8h45.

Les responsables me dirent ce qu'il y avait à faire et nous commencions à débarrasser la maison de tout les déchets. Nous trions ce qui était récupérable ou réutilisable. Et je pensais en moi-même * Les américains et leur façon de tout construire en bois*.

Plus tard dans la matinée arrivaient d'autres personnes. D'ailleurs je remarquais une jeune fille maladroite que son père grondait. Elle était quasiment une adulte mais n'avait apparemment aucune envie d'être là. Il lui demanda de lui mettre quelques clous dans une planche mais elle n'était pas doué. Continuant mon propre travail je la perdu de vue jusqu'à midi. Elle était au stand de sandwich.

Son père l’avait mise là ne sachant plus quoi en faire. J'avis travaillé avec lui par la suite et parlé de sa fille. Elle lui en avait fait une bonne pour qu'il aile la chercher au commissariat. Il ne me précisa pas quoi.

Je pensais pouvoir l’intéresser à une partie de notre travail d'amont, la recherche des matériaux et l'avant travail. Il m'autorisa à aller la voir et me souhaita bonne chance pour lui faire entendre raison. De toute façon c'était la pause déjeuner, il me fallait bien aller la voir. Son père m'ajouta qu'il me la confiait une heure. Si j'avais un problème je revenais le voir. J'étais d'accord et trouvais cet exercice à ma mesure. Je m'approchais de son stand et lui commandais un sandwich.

"Bonjour Charlie, je viens de parler avec ton père. Que dirais-tu de passer un peu de temps à travailler avec moi ?... Puis tu me mettras un sandwich, une boisson et un beignet s'il te plaît."

Elle était surprise que je l'appel par son prénom mais ne fut pas impressionné pour autant. Je ne me doutais pas de ce qui allait se passer.

Après une remontrance voilà que je dois aider les autres...

Pax ▽ Pourquoi faut que ça tombe sur moi sérieusement?

Charlie entendait déjà son père l’engueuler si elle partait ailleurs, sauf à la boutique pour les sandwiches… elle soupira en envoyant un message à sa sœur jumelle :

« -Hey soeurette, papa ma rencardait aux sandwichs du midi…. Tellement je suis maladroite t’y crois ? »

Charlie envoya son sms et sa sœur lui répondit alors :

« -Hey petite sœur, tu sais bien que papa veut t’apprendre des choses de la vie que c’est pas en faisant tes bêtises que forcément tu t’en sortira… Bon je soutiens pas du tout le padre pour qu’il t’est emmené avec lui, c’était une mauvaise idée… surtout si tu fais ça durant toute la semaine prochaine papa va s’éclater mais toi t’ennuyer comme un rat mort. Même si j’avoue que Lucy la bien chercher pour ce qu’elle ta fait… et puis le vert de ses cheveux lui va trop bien, tellement qu’elle la encore dans ses cheveux. »

Charlie rit au sms de sa sœur avant de finalement répondre :

« -Non mais attends le pire elle ma insulté que moi… elle ta insultée aussi et ça j’ai pas apprécier on touche pas ma sœur… »

Charlie n’eu jamais le temps de lire le sms de sa sœur que quelqu’un vint lui parlé levant un sourcil la jeune fille répondit :

« - pardon ? Mon père ? Travailler avec vous ? Je ne sais pas trop en fait… je n’aime pas bosser, encore moins pour des associations de n’importe quoi… »

Elle fit une pause avant de voir son père au coin de la maison, ce fut son tour de lui envoyer un regard foudroyant… Charlie n’aimer pas les inconnus, c’était sa hantise. Enfin une de ses hantises puisque sa toute première c’était d’être séparer de sa sœur… bon la n’était pas le moment des hantises, Cha’ posa son regard bleu sur le jeune homme de nouveau :

« -Okay… tenez voici votre sandwich, une bouteille d’eau et le beignet c’est au choix… »

Bien sur moins elle parler mieux elle se portait…

(c) AMIANTE

Elle ne me sembla pas si terrible que ça de premier abord. Elle était polie et tenait parfaitement son rôle. Je pris ce qu'elle me donnait et choisis un beignet en lui montrant :

"Celui-là avec le chocolat"

Elle me le donna.

"Merci"

Elle regardait son portable. Je contournais le stand et pris une chaise au passage. Je m'assis à côté d'elle.

"Tu n'as rien à craindre de moi. Ton père est un type bien. Et si tu dit ça à propos de cette association c'est que tu ne la connais pas. Je suis pas là pour t'embêter. Je veux juste te faire passer une journée, ou demi-journée avec quelqu'un d'autre que ton père. Et ça te fera découvrir autre chose que juste obéir à ton père parce qu'il te l'a dit. J'ai remarqué que tu regardais ton téléphone. Alors si t'as à répondre à quelqu'un fait-le maintenant. Après je t'expliquerais quelque chose."

Elle m'écoutait mais semblait perplexe. A mes mots elle attrapa son portable et répondait à un sms. Puis elle le rangeait et porta de nouveau son attention sur moi. Je n'avais pas bougé. Je regardais son père veiller sur sa fille et me faire un clin d’œil et un signe avec son pouce.

"C'est pas vraiment du travail. Moi je vois pas ce qu'on fait ici comme du travail. Cette association sert à aider des gens après un orage, une destruction par quoi ou qui que se soit. S'il y a de gros dégâts les gens peuvent faire appel à tout les bénévoles que tu vois là pour les aider à rebâtir leur maison,leurs clôtures, faire pousser des plantes, des arbres, des légumes. Dans la vie y'a ce genre de trucs pas marrant qui te tombe sur le coin du nez sans rien que t'ai fais. Dans ces moments là t'es plutôt démunis et tu sais pas quoi faire. Ca te paraît peut-être loin pour toi et dur pour une fille de ton âge et tu demande bien ce que tu fais là. (à part dans le discours). Je suis pas un peu trop chiant là ? (elle ne réagit pas, pensive). Chacun contribue à aider et porter un trucs là, couper une planche pour ici. Bref, chacun y met du sien et participe à cette réalisation. Alors je te dit ce que je vois là, mais aussi ce que je pense. Penses-tu que les gens, tous ici, pensent travailler ? Non, ou pas seulement. C'est aussi permettre à des gens de croire en l'avenir, d'avoir un toit sous lequel passer la nuit et être tranquille. C'est pouvoir dormir au chaud, ou retrouver des plaisirs (je lui montrais les jardins). C'est être digne et simplement retrouver un sens aux choses. Charlie... c'est pas pour te faire la morale. Mais chacun, en donnant du sien et en aidant pour le moins qu'il puisse, donne bien plus d'une planche au toit ou un poireau à la terre. Voilà ce que tu fais là, tu n'est pas punie, faut pas le prendre comme ça. Alors, je te le demande maintenant: veux-tu m'aider ?"

» Emilie & Robert - Prolongation de livraison
» "Voilà ce qui s'appelle être dans la mouise..." █ PV Emilie
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