Alexanne Dupuis

Citation ;

Vive. Intelligente. Sportive. Ce sont plusieurs qualificatifs que l’on donne à Alexanne. Elle est aussi sensible et timide par moment, s’approchant difficilement des autres. Quand elle connait néanmoins, elle sourit et rit sans complexe. Elle ne supporte pas vraiment l’injustice et fera tout pour ne pas blesser les personnes qu’elle apprécie. Elle apprécie grandement les animaux, surtout ceux qu’elle possède. Elle les protège assez farouchement. Et par-dessus tout, elle ne supporte pas la violence. Quel qu’elle soit. Par les mains ou par les armes. Et sa formation de vétérinaire, la pousse à intervenir dès que quelqu’un est blessé, homme ou animal.  Elle possède un petit élevage de chevaux dont elle s’occupe elle-même. Elle monte d’ailleurs, avec assiduité, ayant gagné plusieurs concours de saut et de dressage. En plus de l’équitation, elle pratique la natation ainsi que la course à pied.


Donc voilà, tout ça, c'est moi :
Alexanne
Vétérinaire et Éleveuse de cheveau
25
27/09
Audrey Lamy
habitants
Quel animal es-tu (seulement pour les créatures surnaturelles)
Célibataire

 

•  Tout le monde a un passé, un présent & un futur.;
It's my story

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minimum 15 lignes.
Il y a 30 ans, une jeune femme rencontra un jeune homme. Ils passèrent plusieurs année ensembles, trois ans exactement. Avant de se fiancer et de se marier. Deux ans plus tard, la jeune femme tomba enceinte. Ce fut un accident et quand ils s’en rendirent compte, il était trop tard. Ils ne pouvaient que garder ce bébé non voulu. L’homme s’en prit a sa femme, déclarant que c’était sa faute à elle,qu’elle l’avait trompée, dupée. C’était, selon lui, de sa faute, si maintenant, ils se retrouvaient avec « un marmot » comme il le déclara. Il ne la frappait pas. Pas encore du moins. Le temps passait, dans une sécurité incertaine pour la jeune femme. Même si ce bébé n’était pas voulu, elle apprit à l’aimer. Il grandissait en elle. Il était le fruit de leur amour, même si désormais celui-ci semblait émoussé.
Ce fut une petite fille qui naquit, une petite fille nommée Alexanne. Sa mère l’aimait et son père… son père elle ne le voyait jamais, toujours parti en vadrouille, il ne rentrait presque jamais à la maison. Elle grandit ainsi, déchirée.
Puis un soir, son père rentra. Heureuse de le voir, elle voulut se précipiter dans ses bras. Elle n’avait que 6 ans. Ce qu’elle ne savait pas, c’est qu’il était saoul, ayant passé la journée à boire. Quand il la vit, il la repoussa brutalement, l’envoyant se cogner dans le mur.
 
« Dégage sale môme ! »
 
Il lui adressa ces quelques mots. Sans le savoir, les derniers qu’il lui adressa directement. Alexanne tenta de se relever. Elle ne comprenait pas pourquoi il réagissait ainsi. C’était son papa. Roulée en boule, elle se mit à pleurer. Lui, il s’énervait. Il s’approcha, et lui adressa une gifle magistrale. Elle cria et sa mère s’interposa. Ce fut elle qui reçut tous les coups. Alexanne, apeurée, courut se réfugier dans un placard de l’entrée. Elle referma la porte, ne voulant pas voir. Mais elle entendait son père qui hurlait sur sa mère et qui la frappait. Ça dura longtemps. Pour elle, petit fille de 6 ans, le temps sembla durait des heures.
Puis le silence. Plus un bruit. Craintive, elle resta roulée en boule dans le placard, une main sur sa joue qui lui faisait mal. Elle s’endormit, roulée en boule dans un coin.
Elle fut réveillée par un rayon de soleil. Une dame était là. Elle avait ouvert la porte, et elle la regardait. Alexanne se redressa, l’étudiant. Elle avait un costume qu’elle reconnut facilement. Elle faisait partie de la police. Quand elle lui demanda de sortir, elle le fit sans hésitation. Sa mère lui avait toujours dit de faire confiance à ceux qui portaient cet uniforme là. La policière la garda avec elle, pendant qu’un médecin l’examinait, posant une compresse froide sur la joue de la petite, en déclarant qu’elle n’avait rien de grave. C'est alors Alexanne sortit de sa torpeur et réclama sa mère, pleurant dans les bras de la policière, lui déballant tout en vrac.
 
« Papa était pas content… Il m’a tapée… Et après il a tapé maman en lui criant dessus… Il disait qu’il ne m’aimait pas… Que je ne devrais pas être la… Que je devrais mourir… »
 
Ça choqua la policière, qui, après l’avoir emmenée auprès de sa mère à l’hôpital, entama des démarche pour un procès. Le temps passa. Le père fut arrêté peu de temps après cela. C’était des voisins qui, ayant entendu les cris, avaient appelé la police. Le temps passa. Lui resta en prison. Puis, deux ans plus tard, le procès eu enfin lieu. Il avait interdiction de s’approcher de son ex-femme et de sa fille, le divorce ayant était prononcé entre temps.
Pour plus de sécurité, Alexanne suivit sa mère quand celle-ci décida de déménager. Alexanne poursuivit ses études. Elle obtient ses diplômes, devenant ainsi vétérinaire. S’étant réfugier dans le contact avec les chevaux après le drame de ces 6 ans, elle choisit d’avoir un élevage en même temps. Ainsi, elle pouvait poursuivre l’équitation, devenue sa passion.

Pour s’installer, elle choisit une ville qui lui semblait bien et belle, mais où se déroulerait des choses dont elle n’avait aucunement conscience. Aujourd’hui, elle se retrouve devant ce qui sera sa maison, sa clinique et son élevage. Elle pousse la porte. Elle a 25 ans. La voilà arrivée. Que va-t-il donc se passer désormais ?